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PRI ATISTIK GEORGES LIAUTAUD
Dans le cadre de la Quinzaine de la Francophonie - prolongée, la Fondation AfricAméricA en partenariat avec l’ADAAC, a l’honneur d’organiser la visite des ateliers d’artistes et d’artisans de la Croix des Bouquets.
La visite guidée est gratuite et est prévue le samedi 2 et le dimanche 3 avril 2011, toute la journée.
La visite s’achèvera au Musée Georges Liautaud, où l’artiste Falaise Péralte exposera ses dernières œuvres.
Pour les réservations, merci de nous envoyer un courriel à cristephenson@gmail.com ou à info@africamerica.org, ou encore de nous appeler au : 34 26 66 66.
La visite s’achèvera au Musée Georges Liautaud, où l’artiste Falaise Péralte exposera ses dernières œuvres.
Pour les réservations, merci de nous envoyer un courriel à cristephenson@gmail.com ou à info@africamerica.org, ou encore de nous appeler au : 34 26 66 66.
Rédigé par Fondation AfricAméricA le Vendredi 1 Avril 2011 à 14:46
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Janvier 2010 …
Nous allions fêter le dixième anniversaire du Forum Transculturel d’Art Contemporain crée en 2000. Notre calendrier d’activités démarrait avec deux évènements, le 30 janvier nous inaugurions au Musée Georges Liautaud, l’exposition « Serge Jolimeau et les forgerons du vodou, 20 ans après » et le 6 février nous lancions le Guide répertoire des artistes et artisans du Bel Air.
Pour la première fois, nous allions obtenir le soutien de la puissance publique, en l’occurrence celui du Ministère de la Culture et des Communications. La sixième édition du Forum Transculturel quant à elle, se déroulerait du 1er au 15 juin 2010 avec la contribution conséquente de nos premiers partenaires officiels, le Fonds ACP / Union Européenne et Revue Noire BICFL, le Festival Doualar’t du Cameroun ainsi qu’une initiative de prestigieux plasticiens malgaches. Une vingtaine de participants d’Afrique, d’Europe, des Amériques, de la Caraïbe particulièrement, confirmaient déjà leur participation. Cette nouvelle année se présentait avec des promesses, laissant entendre que de nouveaux partenariats, le support des décideurs publics se faisaient enfin les indispensables échos d’une décennie de labeur solitaire au service de la création contemporaine et des créateurs haïtiens.
L’Ambassade du Brésil et le Centre Culturel Brésil-Haïti Celso Ortega Terra sont heureux de vous inviter à la projection-débat du film d'Arnold Antonin
Images tirées du film de Arnold Antonin
« La sculpture peut-elle sauver le village de Noailles ? ou
les Boss-métal de la Croix-des-Bouquets »
Le samedi 31 octobre 2009, à 15h
168, Place Boyer, angles des rues Darguin et Goulard
Tél : 22 56 72 76 / 22 56 72 79
E-mail : centreculturelbresilhaiti@yahoo.fr
les Boss-métal de la Croix-des-Bouquets »
Le samedi 31 octobre 2009, à 15h
168, Place Boyer, angles des rues Darguin et Goulard
Tél : 22 56 72 76 / 22 56 72 79
E-mail : centreculturelbresilhaiti@yahoo.fr
Samedi 10 octobre, à la nuit tombante, une centaine de villageois, hommes, femmes et enfants, répondait à l’invitation de la Fondation AfricAméricA et du Centre Pétion Bolivar, à l’occasion de la projection en plein air, du film d’Arnold Antonin :
Eddy Jean Rémy dans le film d'Arnold Antonin
« La sculpture peut-elle sauver Noailles ?
Ou les Boss métal de la Croix des Bouquets »
Au-delà d’une simple projection, Arnold Antonin, en présentant son documentaire/questionnaire, aux acteurs du film, plantant celui-ci, l’espace d’une soirée, au cœur du village de Noailles, a déclenché un processus dialectique.
D’emblée, la thèse annoncée par le titre du film, met en présence une formidable vitalité créatrice, portée par les 60 ateliers du village des sculpteurs de Noailles à Croix des Bouquets. Ceux-ci, s’organisent aujourd’hui, en association, afin d’améliorer leur quotidien. Tandis qu’Eddy Jean Rémy, jeune sculpteur porte drapeau, président de l’association, rêve d’un village verdoyant, où l’art et la mémoire suffiraient à attirer les collectionneurs du monde entier, au sein de ce village, d’irréductibles créateurs, défient l’endémique infortune et la fatalité.
Ou les Boss métal de la Croix des Bouquets »
Au-delà d’une simple projection, Arnold Antonin, en présentant son documentaire/questionnaire, aux acteurs du film, plantant celui-ci, l’espace d’une soirée, au cœur du village de Noailles, a déclenché un processus dialectique.
D’emblée, la thèse annoncée par le titre du film, met en présence une formidable vitalité créatrice, portée par les 60 ateliers du village des sculpteurs de Noailles à Croix des Bouquets. Ceux-ci, s’organisent aujourd’hui, en association, afin d’améliorer leur quotidien. Tandis qu’Eddy Jean Rémy, jeune sculpteur porte drapeau, président de l’association, rêve d’un village verdoyant, où l’art et la mémoire suffiraient à attirer les collectionneurs du monde entier, au sein de ce village, d’irréductibles créateurs, défient l’endémique infortune et la fatalité.
Jean Rénald Michel qui exposera son oeuvre artisanale à Artisanat en fête prévu pour les 16, 17 et 18 octobre prochain est une référence certaine dans le métal découpé en Haïti. Son atelier situé à Croix des Bouquets travaille en mettant les bouchées doubles pour une bonne représentation à la grande fête annuelle de l'artisanat prévue pour un public amoureux du beau.
Lire l'article de Carlin Michel sur l'atelier "Eagle Shop" de Jean Rénald Michel dans Le Nouvelliste du 5 octobre 2009.
En effet ce samedi 3 octobre, la foule était au rendez-vous au village artistique de Noailles à Croix des Bouquets tandis qu'à la FOKAL ce mardi 6 octobre, la première d'un documentaire d'Arnold Antonin, mettait en vedette les sculpteurs, Serge Jolimeau, Eddy Jean Rémy, Jacques Eugène, Falaise Péralte suscitant un débat animé entre spectateurs, réalisateur et artistes.
Le Consul R. Padberg et B. Prezeau
Samedi, la journée démarrait avec l'inauguration officielle de l'exposition par Monsieur Robert Padberg Consul Honoraire des Pays Bas. De nombreux journalistes participaient activement à cette découverte, interviewant artistes, villageois et public. L'exposition a été immédiatement suivie d'une visite de quatre étapes dans les sanctuaires restaurés, grâce au fonds CER de la Fondation du Prince Claus.
Les nombreux expatriés présents, originaires des États-Unis, du Canada, d'Europe et d'Amérique du Sud ont apprécié l'ouverture au public des "Kay loas", partie intime des sanctuaires, rarement visités par les profanes.
Les nombreux expatriés présents, originaires des États-Unis, du Canada, d'Europe et d'Amérique du Sud ont apprécié l'ouverture au public des "Kay loas", partie intime des sanctuaires, rarement visités par les profanes.